45. Cas connus

Résumé ] 1. Introduction ] 2. Fuseaux horaires ] 3. Heure d'été ] 4. Mouvement lune soleil ] 5. Eclairage de la lune ] 6. Lune sous l'horizon ] 7. Soleil sous l'horizon ] 8. Photométrie ] 9. Lune et soleil sous l'horizon ] 10. Pic ovni ] 11. La technologie des plasmas ] 11b. Modèle théorique ] 11c. Plasmas pulsés ] 12. Ballons dirigeables ] 13. Le debunking ] 14. Sélection des cas ] 15. Pré-étude ] 16. Année 1946 ] 17. Année 1954 ] 18-24. Années 1967 à 1989 ] 25. Le 5 novembre 1990 ] 26-35. Années 1991 à 1997 ] 36. Août 1998 ] 37. Synthèse vagues d'ovnis ] 38. Col de Vence ] 39. Cuincy ] 40. Dommages physiques ] 41. Skytracers ] 41b. Fontenay-Trésigny ] 42. Cas d'enlèvement ] 42b. Haravilliers ] 43. Rencontres dans le ciel ] 43b. Crash du Vol TWA 800 ] 44. Lune et soleil impliqués ] [ 45. Cas connus ] 46. Statistiques ] 47. Cas éliminés ] 48. Poursuite de la recherche ] 49. Autres études ] 50. Conclusion ]

o v n i s  :   l ' a r m é e   d é m a s q u é e

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45. Étude de cas connus

Il semblait intéressant d’étudier certains cas évoquant une intervention militaire.

Le détail des 4 cas étudiés se trouve en annexe B § XXXI.

Bases de Bentwaters et Woodbridge, forêt de Rendlesham (Angleterre), nuit du 27 au 28 décembre 1980

D’après Jacques Vallée [JV90b chap. 6], l’affaire de la forêt de Rendlesham dans le Suffolk aurait très bien pu être une manipulation militaire, au même titre que celle de Pontoise déjà évoquée ci-dessus au § 15. Il semblait donc intéressant d’étudier ce cas, mais rien de bien concluant ne pouvait apparaître en ce qui concerne la position des astres puisque la date et l’heure des événements varient selon les sources et que la confusion à ce sujet a été entretenue depuis le début.

Une quarantaine de soldats de la base sont conviés de nuit au spectacle en pleine nature, mais on a pris soin de les désarmer. Une nappe de brouillard lumineux se forme sur le lieu de l’observation, ce qui évoque le tir d’un nuage de particules. Arrivée très rapide d’un ovni lumineux puis apparition dans une gerbe d’étincelles (abracadabra !) d’un objet apparemment réel. 3 extraterrestres en descendent et conversent avec le commandant de la base devant les observateurs médusés dont les réactions psychologiques seront étudiées attentivement. Certains témoins ont rapporté la présence d’une odeur de soufre, d’autres l’absence totale de sons, d’autres enfin des difficultés à avancer suggérant un début de paralysie. Tous ces effets pourraient être imputés à l’utilisation d’armes à micro-ondes.

Région de Dayton (Texas), 29 décembre 1980

Ovni éblouissant en forme de diamant poursuivi par 23 hélicoptères militaires, puis escorté. Betty Cash, Vicky Landrum et son petit-fils qui circulaient en voiture sur la route croisée par l’ovni ressentent une chaleur intense et présenteront par la suite tous les symptômes d’une irradiation : brûlures graves, vomissements, migraines, perte de cheveux, tumeurs, etc. L’alliance que Betty Cash porte au doigt devient brûlante, sans doute échauffée par effet Joule à cause du courant induit par les puissantes ondes électromagnétiques rayonnées par l’ovni. A la suite de cette observation, Betty Cash sera hospitalisée à maintes reprises et souffrira de plusieurs types de cancers. Le 18 janvier 1984, les deux femmes attaquent en justice l’armée de l’air américaine devant le tribunal de Houston, mais elles n’obtiendront aucune réparation puisque l’US Air Force ne possède pas d’appareils correspondant à la description de l’ovni. Des millions de dollars auront été dépensés en frais de justice et en soins médicaux.

Il est possible que la source du tir ait été logée à bord d’un des hélicoptères qui constituaient l’escorte. Le rayon du tir pouvait être masqué par les phares des hélicoptères.
 
 Plaine de Nullarbor (Australie du sud), 21 janvier 1988        English translation

Ce cas est à notre connaissance le seul qui implique l’" aspiration " d’une automobile par un ovni sans qu’il s’agisse pour autant d’un canular. Après une période de perplexité assez longue face à des faits aussi étranges, nous pensons pouvoir proposer aujourd’hui une interprétation rationnelle et plausible de ce phénomène.

La famille Knowles roule peu avant le lever du jour sur l’Eyre Highway dans le sud de l’Australie. Après avoir fait un écart pour éviter une collision avec un premier ovni qui stationnait au-dessus de la route, les Knowles croisent une automobile survolée par un deuxième ovni. Le fils qui conduit, piqué par la curiosité, décide de faire demi-tour et d’entamer une poursuite. Ayant rattrapé cette voiture toujours survolée par l’ovni, il constate que ce dernier se dirige maintenant vers eux, si bien qu’il fait à nouveau demi-tour et accélère. Alors que les Knowles roulent maintenant à plus de 160 km/h pour tenter d’échapper à l’ovni, celui-ci les rattrape et atterrit violemment sur la voiture avec un bruit sourd. On peut raisonnablement penser que la boule de plasma simulant l’ovni exerçait à ce moment-là un champ magnétique suffisamment intense pour pouvoir aimanter le toit de l’automobile et s’y " coller ". A l’intérieur du véhicule, les passagers semblent parler au ralenti sous l’influence du champ électromagnétique et l’un des 3 fils a l’impression qu’on lui retire le cerveau de la tête, impression subjective que nous avons déjà rencontrée (voir ci-dessus § 42). Le chauffeur essaye de quitter la route mais la direction semble bloquée, comme si le plasma imposait au véhicule aimanté d’avancer en ligne droite. C’est alors que la voiture s’élève de quelques 3 mètres avant de retomber lourdement, probablement du fait que la force d’aimantation du plasma s’avérait insuffisante pour la maintenir en sustentation plus longtemps. Le pneu arrière droit explose lors de l’impact avec l’asphalte. Le conducteur récupère alors l’usage de la direction et réussit à stabiliser le véhicule jusqu’à l’arrêt. Il n’y aura fort heureusement pas eu de victimes.

Madame Knowles aura eu le temps de baisser sa vitre, de jeter un œil à cette brillante lumière blanche dont le centre était jaune, et d’en toucher le dessous qui évoquait une éponge chaude. (Est-ce la sensation que produit le contact avec un plasma ? – Est-il possible de toucher un plasma d’une telle intensité sans se brûler ? – A-t-elle vraiment touché l’ovni ou simplement éprouvé une sensation subjective, perturbée par le champ électromagnétique ambiant ?).

Après ces événements, une bosse (en creux bizarrement) subsistera sur le toit de la voiture et les analyses de la poussière retrouvée révéleront la présence d’oxygène, de carbone, de calcium, de silicium, de potassium et peut-être aussi d’astate, un élément radioactif d’origine synthétique. Les témoins, qui n’avaient pas conservé l’anonymat, seront largement tournés en dérision par les médias australiens.
 
Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), 8 septembre 1997

Dans son dernier ouvrage, le journaliste Hugo Nhart témoigne d’une observation remarquable qui mériterait d’être connue si elle ne l’est pas encore. Alors qu’il travaille sur son ordinateur au beau milieu de la nuit, il ressent soudain " de légers coups de poings dans l’estomac; un peu comme lorsque l’on se trouve devant des enceintes diffusant des basses d’un niveau élevé ". De telles sensations peuvent aujourd’hui être provoquées par les armes à infrasons. Le journaliste sort sur le balcon et voici ce qu’il observe :

" Tout à coup je remarque que le jasmin qui grimpe le long d’un treillage situé à ma gauche tremble. A ma droite un rosier arbuste a ses fleurs ouvertes qui bougent elles aussi. Je vois une fleur, sans doute déjà fanée, tomber au sol. Devant moi toute une haie de géraniums dans des bacs s’agite à cadence répétée sans aucune raison. […] En même temps, je ressens toujours ces "chocs répétés" au creux de l’estomac et les compare avec les mouvements des divers feuillages cités. Les "coups" sont reçus au même instant sur toutes les plantes. " [HN99 p. 66].
                                                  

Levant les yeux, il observe alors avec les jumelles dont il s’est saisi, une masse sombre triangulaire éclairée de lumières fixes, avançant silencieusement la pointe en avant. S’il s’agit bien d’un appareil militaire maquillé en " ovni ", on pourrait à juste titre s’étonner de l’absence de bruit de moteurs, alors qu’Hugo Nhart nous a indiqué qu’il aurait entendu correctement les autres bruits alentour. Cette absence de bruit ne serait donc pas uniquement subjective, telle que celle qui pourrait être induite par un rayonnement électromagnétique agissant sur le cerveau du témoin (comme nous l’avons déjà vu au § 38). La présence d’un rayonnement est pourtant confirmée par le fait que l'appareil photo du journaliste refuse de fonctionner, tandis que l’ovni se rapproche toujours lentement (vitesse estimée à ~50 km/h). Après son passage à la verticale de l’immeuble, les vibrations qui augmentaient d’intensité cessent enfin. Mais les conséquences de ce test militaire restent à venir. Le lendemain soir, le témoin a 28/10 de tension et il risque un choc cérébral. Il est pris de violents maux de tête et de gros boutons infectés apparaissent sur sa peau. Il est rapidement hospitalisé pour être examiné durant une semaine mais à la stupéfaction des médecins, la " suspicion de phéochromocytome " ne peut être confirmée et ses symptômes restent incompréhensibles. Il ne retrouvera sa tension normale qu’un mois plus tard et est toujours victime périodiquement d’éruptions cutanées en 2000. Cette observation a été déclarée auprès de la gendarmerie qui a indiqué qu’une brigade spéciale s’occupait de ce type de dépositions à la demande du Ministère de l’Intérieur, suite à la survenue de plusieurs cas similaires.

Ce lot de cas étant issu d'une sélection aléatoire, il est bien sûr exclu des statistiques globales.

  
                 

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